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Je reviens aujourd’hui pour vous parler de notre expérience chez Kiwill, samedi dernier. Je dis nous, car j’ai eu, avec 10 de mes abonnées instagram, la chance de pouvoir tester une séance de spinning au studio Kiwill à Paris.

Spinning, Kiwill, qu’est ce que c’est ?

Le Spinning est un dérivé du RPM, concept importé des Etats Unis. Durant un cours de 45 minutes, on enfourche son vélo, on fixe ses chaussures, et on va pédaler à des rythmes differents, en effectuant en même temps des exercices avec le haut du corps, lesté de deux petits halteres dans les mains. Le tout dans une ambiance tamisée, musique dynamique, et animé par un coach.

Kiwill importe donc le concept à Paris, dans le 11^ème, à République. Avec mes abonnées, nous avons rendez vous à 10h, pour un cours qui commence à 10h15. Nous retrouvons aussi Alexia, et ses invitées. Je ne pourrais malheureusement pas y participer, à cause d’une petite inflammation du genou, et un arrêt forcé de 10 jours.

Le studio

Je découvre donc le studio flambant neuf. Murs blanc, lignes épurées, citations motivantes au mur, j’aime beaucoup l’endroit. L’accueil est parfait, toute l’équipe Kiwill est au petit soin dès notre arrivée. Dès notre entrée, nous sommes prises en charges. On demande aux filles leur pointure pour leur prêter une paire de chaussures spéciale. Sur le comptoir, on peut se servir en élastique ou barrettes, si jamais on a oublié les nôtres. Une bouteille d’eau ainsi qu’une serviette sont alors données à chaque participante.

Dans les vestiaires et les douches, c’est pareil, tout y est : serviettes, sèche-cheveux, cotons, démaquillant, laque, shampoing et gel douche, et même rasoirs jetables et tampons ! De quoi se refaire une beauté si on veut aller bosser, ou sortir juste après sans avoir à repasser chez soi, et sans avoir besoin de transporter sa maison. Et les cassiers sont à code, pas besoin d’apporter son cadenas ! Tout est pensé pour que vous puissiez y aller les mains dans les poches, avec simplement votre tenue de sport.

La séance

Les filles sont prêtes et l’équipe Kiwill est aux petits soins pour les aider à s’installer et régler leur vélo. Le coach Mickael, également danseur étoile, commence à expliquer les consignes, et le principe du cours. Une fois toutes les filles en place, le cours peut commencer. Mickael branche sa Play List entrainante, et donne le rythme. La lumière va baiser progressivement durant les 15 premières minutes, pour laisser la salle dans une pénombre appréciée par les participantes. J’assiste à l’échauffement, et d’après ce que j’ai pu voir, je pense que les filles vont bien transpirer !

En attendant la fin du cours, je discute avec Eric, un des fondateurs de Kiwill. Il m’explique qu’ici, c’est le service qui prime : lui et son équipe souhaitent offrir aux participants un service de qualité, dès l’arrivée du client, jusqu’à son départ. Ce n’est pas juste un cours, c’est une expérience.

Le cours se termine, je vais retrouver les filles. Alexia me confit qu’elle n’a jamais autant transpiré, et qu’on se sent super légère après. J’ai l’impression qu’elles ont toutes pris une douche haha. Celles qui ont l’habitude de pratiquer le RPM ont bien aimé le fait de pouvoir également travailler le haut corps pendant le cours. Dans l’ensemble, elles ont toutes l’air ravies ! Maintenant, à la douche, la vraie !

Je suis un peu déçue de ne pas avoir pu participer au cours, mais ce n’est que partie remise : je reviendrai tester dès mon retour en France ! J’aime l’idée d’un cours assez cardio, où on travaille tout le corps, en complément de la course. Je pourrai alors vous en dire plus sur mon expérience 😉

Si vous êtes à Paris, je vous invite à aller tester ! La séance est à 25€, mais le premier cours d’essai est offert. Cela revient donc à 12,5€ les deux premières séances, et honnêtement, je pense que ça vaut le coup !! Laissez vous tenter. Pour s’inscrire à une session, rien de plus simple, ça se fait directement sur le site : http://www.kiwill.fr

Merci à Eric et son équipe pour leur accueil et toutes leurs petites attentions à notre égard !

À très vite,

Mathilde